PRATIQUE - Alors que vous êtes en pleine recherche d’emploi, vous avez majoritairement répondu à des annonces? Pensez aux candidatures spontanées qui offrent de nombreux avantages.
Lors d’une recherche d’emploi, il est toujours judicieux d’envoyer plusieurs candidatures spontanées et de ne pas uniquement répondre à des annonces trouvées sur des plateformes. Pour quelles raisons? D’une part, l’entreprise voit que vous êtes intéressé(e) et motivé(e) par la perspective de rejoindre les équipes en place. D’autre part, vous aurez certainement moins de concurrents que s’il s’agit d’une réponse à une offre d’emploi. Enfin, vous montrez votre pro-activité et n’attendez pas que les annonces viennent à vous. Comment cibler les entreprises où aller postuler? Voici nos conseils pour faire la différence et attirer l’attention des recruteurs.
Ciblez des sociétés qui vous plaisent
Il est contreproductif d’envoyer des lettres de motivation à des entreprises choisies au hasard. Commencez par dresser la liste des sociétés qui vous attirent le plus dans votre domaine d’activité. Prenez en compte plusieurs aspects: les valeurs de l’entreprise, les projets en cours de développement, l’image de marque, les produits et les services proposés… D’autres éléments peuvent se révéler essentiels, comme la zone géographique, les opportunités d’évolution, les avantages offerts aux salariés, l’âge moyen des équipes, le salaire...
Attention, veillez à contacter des sociétés qui se portent bien sur le plan financier. Pour ce faire, rendez-vous sur les sites d’actualité spécialisés dans le secteur concerné. L’objectif est de mettre toutes les chances de votre côté et de rentabiliser le nombre de candidatures envoyées.
Enfin, gardez en tête que même si vous n’obtenez pas de réponse positive, il est possible que votre destinataire garde votre CV et votre lettre de motivation. Vous ferez donc partie du vivier de candidats d’une entreprise que vous appréciez, ce qui laisse la porte ouverte à un éventuel recrutement à moyen terme. Certaines structures recontactent d’ailleurs directement les candidats, sans mettre en ligne d’offre d’emploi.
Adressez votre candidature au bon interlocuteur
Même si le recrutement passe en mode distanciel en raison de la pandémie de Covid-19, il est indispensable de continuer à soigner vos candidatures. Après avoir choisi plusieurs entreprises, il reste à trouver les destinataires les plus pertinents. S’il s’agit d'une TPE (Très Petite Entreprise), vous pouvez directement contacter le gérant. S’il s’agit d’une PME (Petite ou Moyenne Entreprise), il est plus judicieux de faire parvenir votre candidature au DRH (Directeur des Ressources Humaines). Vous souhaitez travailler au sein du service communication d’une grande entreprise? Dans ce cas, il est possible de contacter directement le responsable communication. Il en va de même pour les départements marketing, juridique, finance…
Comment trouver le nom de la personne concernée? Commencez par visiter le site internet de l’entreprise et consultez l’organigramme. Si l’adresse électronique est mentionnée, c’est parfait! Sinon, vous pouvez aussi vous rendre sur les comptes LinkedIn et Twitter de l’entreprise pour trouver cette information. Est-ce possible d’envoyer un message via LinkedIn? La réponse est oui: expliquez simplement votre démarche et demandez à quelle adresse vous pouvez envoyer votre candidature. Dernière possibilité: contactez le standard de l’entreprise pour obtenir les coordonnées de la personne que vous recherchez.
Comment procéder si vous ne trouvez pas le nom du collaborateur chargé du recrutement? Les deux formules suivantes, "À l’attention du responsable des ressources humaines" et "À l’attention du service des ressources humaines", sont de bonnes alternatives.
Le courriel de contact doit également être personnalisé et percutant: précisez pourquoi vous avez choisi cette entreprise et attisez la curiosité de votre interlocuteur. Une fois votre courriel envoyé, assurez un suivi: vous n’avez pas de retour au bout d’une semaine? N’hésitez pas à relancer votre destinataire, soit par courriel soit par téléphone. Demandez simplement si la personne a bien reçu votre candidature et si elle a besoin d’informations supplémentaires.
Tous les salariés n’ont pas le même ressenti vis-à-vis du télétravail, qui s’est généralisé pour endiguer la pandémie de Covid-19. Une enquête s’est intéressée au profil de celles et ceux qui vivent le moins bien (et le mieux) ce mode de travail.
Après plus d’un an de crise sanitaire du Covid-19 et des mois de confinements plus ou moins souples, l’expérience du télétravail est désormais acquise par une partie des salariés et son bilan peut être dressé.
Qu’il ait été subi, qu’il ait été une révélation professionnelle, qu’il promette un tournant majeur dans l’organisation du travail ou qu’il se retrouve vite enterré au fil des retours au bureau, le télétravail a donné lieu à l’expression de toute une palette de vécus.
Dans le cadre de sa troisième enquête « Mon bureau post-confinement », la chaire Workplace Management de l’ESSEC Business School a choisi de questionner les éléments qui conditionnent les aspirations, les préférences et les perceptions des salariés télétravailleurs. Un souci particulier a été accordé au fait de donner une place aussi importante à la voix des employés qu’à celle de leurs dirigeants et managers.
Cette enquête a été réalisée entre le 21 et le 30 avril 2021 en ligne, auprès d’un échantillon de 1 868 employés et utilisateurs de bureaux. Parmi eux, 58 % de femmes et 42 % d’hommes, âgés en moyenne de 39 ans. 75 % appartiennent à la génération Y (nés entre 1984 et 1996).
Dans sa globalité, l’échantillon d’enquêtés déclare avoir plutôt bien vécu cette dernière période de confinement (d’octobre 2020 à avril 2021) et de télétravail : 48 % l’ont assez bien voire très bien vécue et 22 % l’ont mal voire très mal vécue. Des différences notables apparaissent cependant au moment d’affiner l’analyse.
63 % des cadres dirigeants ont un ressenti positif du télétravail
L’insatisfaction manifestée suit en particulier une progression hiérarchique. 63 % des cadres dirigeants déclarent un ressenti positif sur cette expérience. En revanche, les cadres intermédiaires semblent plus modérés (seuls 52 % se disent plus efficaces) et les employés satisfaits par cette période de télétravail sont encore moins nombreux (39 % d’entre eux se sont estimés plus efficaces). Ces derniers témoignent d’ailleurs de la plus grande impatience à l’idée de retrouver leurs conditions de travail initiales (66 % des employés contre 55 % des cadres).
Cette différenciation hiérarchique s’avère plus prononcée parmi les femmes que parmi les hommes. Les écarts de perception selon la position hiérarchique sont en effet de 7 points entre cadres et employés masculins, et de 11 points entre cadres et employées féminines. Sur le plan de l’efficacité perçue, l’écart entre femmes atteint 17 points, soit 9 de plus qu’entre les hommes de différents postes.
De manière générale, le genre semble significatif. Les hommes déclarent ainsi avoir mieux vécu l’expérience que les femmes (55 % des hommes et 44 % des femmes à poste égal).
Il faut rappeler que les données exploitées résultent d’une autoévaluation. Elles reposent sur le regard que chacun porte sur sa propre expérience et doivent ainsi être interprétées comme une représentation sociale et non comme des éléments objectifs. On peut ainsi envisager que les écarts que l’on constate entre hommes et femmes ou entre cadres et employés soient aussi eux-mêmes le produit de ces catégories sociales.
Les plus âgés enfin, sont ceux qui ont le mieux vécu cette expérience : respectivement 24 et 25 % des générations dites Y (27 à 40 ans) et Z (18 à 26 ans) disent avoir mal vécu cette période, contre 20 et 17 % des plus âgés (génération X – 41 à 56 ans – et baby-boomers – 57 à 76 ans). L’autonomie et l’expérience acquises avec l’âge et l’ancienneté ont pu être des garantes de la qualité de cette expérience professionnelle. Les plus jeunes apparaissent en effet comme ceux qui se sont le plus fréquemment sentis moins efficaces qu’auparavant (27 % de la génération Z).
Des aînés plus installés
Dans le monde du travail actuel, la maîtrise des outils collaboratifs et des technologies permettant la dématérialisation des tâches ont pu constituer des atouts fondamentaux. C’est ce qui explique également le fait que les baby-boomers soient les moins nombreux à s’être sentis plus efficaces qu’auparavant (35 % d’entre eux uniquement). En revanche, parmi les digital natives que sont les plus jeunes de l’échantillon, cette perception d’une efficacité accrue n’est étrangement pas majoritaire.
Les facteurs le plus souvent invoqués par ces derniers pour illustrer les difficultés inhérentes au télétravail portent principalement sur la réduction des opportunités professionnelles et l’impossibilité de développer son réseau lorsque l’on travaille à domicile. Chez les plus âgés, ces facteurs paraissent moins prégnants. Là où la carrière des juniors reste encore à envisager et à construire, celle de leurs aînés est plus installée et peut s’appuyer sur un réseau solide et sur une expérience de terrain concrète. Autant d’atouts qui se sont avérés cruciaux pour bien vivre cette période d’isolement professionnel.
Quel avenir pour le bureau ?
C’est surtout l’aspect social et l’émulation professionnelle que matérialise le lieu de travail dont le manque a été le plus préjudiciable auprès des plus jeunes. Ce sont eux qui manifestent la plus grande impatience de retrouver leurs conditions de travail initiales, loin devant leurs aînés (79 % des Z, 64 % des Y, 54 % des X et 58 % des baby-boomers).
Notons également que les plus jeunes, contraints de télétravailler depuis leurs petits appartements ou depuis le domicile familial, n’ont pas bénéficié du même confort et des mêmes habitudes domestiques que leurs aînés. Cela a immanquablement influé sur la façon dont ils ont subi ou bénéficié de ces quelques mois.
Le logement semble aussi un critère explicatif des chiffres observés pour les femmes. Celles dotées de fonctions managériales, plus habituées au télétravail, s’estiment plus efficaces que ne le font leurs collaboratrices, et l’ont sûrement été. Mieux équipées sur le plan domestique, parfois secondées dans les tâches quotidiennes qui leur incombent le plus souvent à l’échelle familiale, les femmes cadres s’avèrent aussi le plus souvent mieux logées que leurs adjointes et disposent d’espaces de travail et de vie plus favorables à la poursuite de leurs tâches professionnelles dans ce contexte perturbé.
L’articulation des conditions de vie et de travail occasionnée par cette relocalisation domestique des activités professionnelles interroge ainsi l’avenir du bureau tout autant que des espaces vécus, à différentes échelles, qu’ils soient résidentiels et urbains. Les nouvelles formes que prendront les bureaux de demain devront s’accommoder de cette diversité de perceptions et de manières d’habiter et de pratiquer l’espace, afin d’accorder à chacun et à chacune la place de s’épanouir professionnellement.
CHANGEMENT: Après de longs mois de pandémie et plusieurs confinements qui nous ont laissés le temps de réfléchir sur notre vie et nos attentes, certains ont fait le choix de changer complètement de voie
« C’est quoi ma vie ? » « Aucune envie de faire ce boulot encore trente ans ! » « Je veux faire quelque chose qui a du sens, qui m’épanouisse ». Après une pandémie qui n’en finit pas, trois confinements, des milliers d’heures d’ennui, d’introspection et de réflexion, l’apparition du Covid-19 a tout chamboulé sur son passage. A commencer par notre quotidien, nos certitudes et nos aspirations. Alors, pour certains, il faut que ça change. La décision est prise : fini le « métro, boulot, dodo » en pilote automatique, à exercer un métier qui ne nous plaît plus.
Quête de sens, besoin d’épanouissement et envie de reconnexion à l’autre ont poussé certains esprits courageux à changer de vie en s’orientant vers les métiers du bien-être. Sophrologue, réflexothérapeute, naturopathe ou encore professeur de yoga comptent parmi les nouvelles vocations qui émergent. Pour se faire du bien en faisant du bien aux autres.
« Je me suis dit : "je ne pourrai pas continuer comme ça jusqu’à la retraite" »
A bientôt 50 ans, Laurence a décidé de quitter son métier d’agent de police pour devenir professeure de yoga. « J’avais cette idée depuis longtemps, mais avec mon quotidien chargé de maman solo policière, cela me semblait impossible », confie-t-elle. Jusqu’à ce mois de mars 2020, quand la planète s’est arrêtée de tourner. « Comme beaucoup, je n’ai pas travaillé pour m’occuper de ma fille de 5 ans. Loin du stress du travail, j’ai pris du recul, fait de la méditation et du yoga, et je me suis retrouvée. Alors, quand il a fallu reprendre le boulot, où l’on est confronté à des situations très difficiles, j’ai tout remis en question, et j’ai compris que je n’étais plus à ma place ». Car c’est souvent « à un moment charnière de la vie que l’on saute le pas d’une reconversion totale vers nos métiers : après avoir eu des enfants, une maladie longue, ou aujourd’hui, après une pandémie qui a poussé à l’introspection. On réalise qu’on a changé, et que l’on ne veut plus retourner à son ancienne vie », décrypte Christine Bretin, experte en réflexothérapie combinée et responsable du centre de formation REF formations.
A l’instar d’Alexandra, qui a travaillé comme une forcenée durant le premier confinement. « J’étais responsable en amélioration continue dans une société de fabrication de bennes de camion. Mon travail consistait à améliorer la production tout en veillant aux conditions de travail de nos 150 collaborateurs, explique la mère de famille de 48 ans. Avec la pandémie, j’ai éprouvé les limites de ce que je pouvais faire. J’étais stressée, épuisée, je culpabilisais d’avoir moins de temps pour mes trois enfants », se souvient-elle. A l’été, elle consulte une réflexothérapeute pour sortir la tête de l’eau. « Elle m’a dit : "vous êtes en burn-out, vous ne pouvez pas continuer comme ça". Elle m’a prise en charge, m’a aidée en un temps record. Et m’a inspirée : c’est ça que je voulais faire ».
Mais « ça », c’est quoi exactement ? « La réflexothérapie sollicite par massages les endroits du corps où il y a le plus de terminaisons nerveuses – les mains, le visage, les oreilles, les pieds, et qui sont une représentation des dérèglements fonctionnels du corps : douleurs, troubles digestifs, troubles du sommeil, fatigue ou émotions difficiles à gérer. On agit sur toutes les choses que le corps peut résoudre par lui-même, sans médicament », explique Christine Bretin. Une médecine douce dont Annabelle, animatrice en Ehpad depuis dix ans, a apprécié les bienfaits au point d’entamer une reconversion. « J’aime mon métier, mais m’occuper seule de 84 résidents, ce n’est pas tenable. Je me suis dit : "je ne pourrai pas continuer comme ça jusqu’à la retraite" ».
Suivre une formation diplômante et reconnue
Mais une telle reconversion ne s’improvise pas. Pour devenir réflexothérapeute ou prof de yoga, il est nécessaire de suivre une formation diplômante et reconnue, aussi bien pour acquérir les compétences requises que pour savoir comment, une fois le diplôme en poche, lancer son activité. « Ma réflexologue m’a conseillée, et je me suis inscrite dans une formation de 18 mois », poursuit Annabelle, imitée par Alexandra. Et bien d’autres. « Auparavant, on avait énormément de demandes pour de petits modules de deux jours, pour apprendre les techniques de base afin de prendre soin de ses proches. Les cursus professionnalisants, eux, se remplissaient au fur et à mesure de l’année. Mais depuis la pandémie, il y a une inversion totale : la demande de petits modules a presque disparu et les formations longues, qui démarreront à la fin de l’année, sont complètes depuis plus d’un mois, observe Christine Bretin. Le point commun de ses élèves : l’empathie, et avoir toujours eu envie de s’orienter vers le mieux-être ».
Ce cursus de 472 heures prévoit « des cours en e-learning, des cours en présentiel avec prises en charge de personnes, et des stages », décrit Christine Bretin. Et le programme est costaud ! « Il y a l’apprentissage fondamental : l’anatomie, la physiologie, la pathologie, et la mise en sécurité du patient. Ainsi que la maîtrise de l’énergétique chinoise en réflexologie, et les techniques plantaires, palmaires, faciales et auriculaires. Puis, il y a tout ce qui concerne l’installation : l’étude de marché, la communication (réseaux sociaux, site internet) et l’animation de conférences et d’ateliers. Et enfin, un dernier pavé sur la réflexothérapie combinée, pour une prise en charge plus rapide et efficiente ». Mais pas de quoi effrayer Alexandra : « étudier de nouveau à 48 ans, c’est un challenge, mais quand on est passionnée, l’envie est la plus grande ».
De son côté, quand Laurence a vu qu’Hélène Duval, fondatrice des studios YUJ Yoga à Paris, proposait une formation diplômante, « ç’a été le déclic. Je me suis aussitôt inscrite et j’ai fait une demande de rupture conventionnelle ». Avec cette formation reconnue de 200 heures qui mixe présentiel et distanciel, « on forme des guides qui mèneront ensuite leurs élèves vers un éveil du corps et de l’esprit, expose Hélène Duval. On est dans une volonté de transmission, pas pour enseigner le "yoga d’Insta" pour faire des photos un pied derrière la tête, mais une vraie discipline éthique, avec des règles pour sécuriser la pratique. Et un volet business, pour apprendre aux futurs diplômés à vivre de leur passion ». Et si « la demande a toujours été importante, on observe ces derniers mois un changement dans les profils : on a beaucoup plus de personnes venant de province pour se former, animées par une envie de bien-être, de reconnexion à soi et à l’autre ». A l’instar de Laurence, donc, venue de Nice pour apprendre son « futur métier et un nouvel art de vivre ».
« Je voulais aider les autres, mais différemment, en leur faisant du bien »
« Je viens d’obtenir ma certification, et je vais lancer mon activité dès la fin officielle de mes fonctions dans la police, à la fin de l’été, se réjouit la Niçoise. Je vais rejoindre des studios pour donner des cours particuliers et collectifs, et pourquoi pas créer des retraites de yoga ». Mais Laurence ne renonce pas totalement à son ancienne vie. « Je vais aussi donner des cours à mes collègues, et après des années en tant que policière référente en violences conjugales, je voudrais proposer des ateliers de yoga dans des associations d’aide aux femmes victimes de violence, pour leur offrir un moment rien qu’à elles, se ressourcer et commencer à se reconstruire. Je voulais aider les autres, mais différemment, en étant dans un cadre doux et serein, pas en intervenant dans des situations dramatiques ». Une nouvelle vie différente « qui ravit déjà mes filles. Elles me voient épanouie et non plus lessivée et déprimée ».
A l’issue de sa formation, Alexandra se verrait bien ouvrir son cabinet de réflexothérapie. Et s’entraîne déjà sur toute la famille. « Je débloque les tensions de mon mari stressé, je débarrasse mes enfants des petits bobos, et j’ai dit adieu à mes migraines. Tout le monde est ravi ! Même mes anciens collègues, puisque je prévois de faire une partie de mon stage sous la forme d’ateliers de réflexothérapie dans mon ancienne entreprise ». Le temps de sa formation, Annabelle prévoit en effet d’initier ses résidents à la réflexothérapie. « Et si ça roule, je passerai à 100 % en libéral ». Ravies de leur nouvelle vie, les trois mamans en reconversion en sont chacune persuadées : « sans la pandémie, je n’aurais jamais osé me lancer ».
1. Soyez concis sur votre CV
Votre CV doit être le plus simple et le précis possible. Un recruteur ne mettra pas plus d’1 minute pour se faire une idée de votre profil. Facilitez lui la tâche!
2. Commencez par les expériences les plus récentes
Afin de faciliter la lecture de votre CV par les recruteurs, il faut démarrer par l’expérience de la plus récente à la plus ancienne.
2. Ne pas gonflez son CV
Soyez le plus honnête possible dans la description de vos missions et de la réalité de vos tâches. Vous seriez rapidement mis à découvert.
3. Mettez en avant votre expertise métier
Insistez sur la technicité de vos tâches et sur l’expertise acquises en utilisant des éléments factuelles. Utilisez un maximum le champs lexicale propre à votre domaine d’activités. Sachez qu’ils seront certainement utilisés par les recruteurs lors de leurs recherches sur les Cvthèques.
4. Vos hobbies
Compte tenu de la rapidité par laquelle les recruteurs vont prendre connaissance de votre profil. Triez les hobbies qui seront les plus pertinents par rapport à l’emploi recherché ou l’entreprise en question. ex: systèmes de valeurs, compétences transverses , philosophies…
5. Photo non obligatoire
6. Relisez-vous
En règle générale, les recruteurs n’apprécient pas du tout les fautes d’orthographes!!!
7. Mettre un titre à votre CV
Il est préférable mais pas indispensable de mettre un titre à votre CV en mentionnant le type de poste recherché. Cela aura tendance à montrer aux recruteurs la motivation et votre réflexion autour de votre projet professionnel.
8. Vos prétentions salariales
Le nerf de la guerre… Soyez le plus précis dans ce domaine, il faut qu’il soit cohérent avec votre rémunération actuel, le poste auquel vous prétendez et le marché du travail! n’hésitez pas à vous renseignez sur les tendances en terme de rémunération en vous basant sur des études sérieuses!